domingo, 14 de febrero de 2016

100 jours de punition collective à Hébron-AlKhalil.

100 jours de punition collective à Hébron-AlKhalil
Deux jeunes palestiniens attendent au checkpoint Shuhada que les soldats israéliens veuillent bien les autoriser à rentrer chez eux.
                                  





Ont également été bannis de la zone tous les autres palestiniens, soit les membres de la famille, les travailleurs sociaux et médicaux ainsi que les activistes et les journalistes. Le 5 février dernier, les forces militaires israéliennes ont publié un document annonçant la poursuite de la zone militaire jusqu’au 1er mars, avec la possibilité d’un nouveau renouvellement.

Durant cette période, les résidents palestiniens ont dû faire face à des restrictions de mouvement toujours plus importantes, appliquées sous couvert de protéger la sécurité des citoyens israéliens. Dans la zone militaire fermée ainsi que dans toutes les zones d’Hébron contrôlées par l’armée israélienne, les colons israéliens marchent librement dans la rue, parfois armés, sans être perturbés par les contrôles de l’armée et les checkpoints. Les organisations internationales et palestiniennes ont demandé de mettre fin à cette zone militaire fermée, qui constitue une punition collective, interdite par les Conventions de Genève.

L’armée israélienne vise spécifiquement les défenseurs des droits de l’Homme, qui risquent constamment une expulsion arbitraire d’une zone de la ville où leur présence est grandement appréciée des Palestiniens depuis de longues années en tant qu’observateurs internationaux.


« Les soldats et les colons rendent la vie des Palestiniens impossible afin qu’ils quittent leurs maisons de leur propre chef, » explique Abed Salaymed, un résident du quartier. « C’est un crime selon le droit international. Ils visent les activistes pour empêcher la vérité d’être mise à jour ».









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